
Jeune homme introverti geek amoureux de la musique
Jeune homme introverti geek amoureux de la musique
Sensualité masculine
Lumière sur la peau
Madamereveat 11:28, the 9 mai 2025
J'adoooore ! Mais tu le sais déjà 🤦
kozai_59at 11:28, the 9 mai 2025
Ça me fait toujours plaisir de le savoir je ne m’en lasse pas 😘
Objectif : charmer et faire rire en même temps
Madamereveat 11:29, the 9 mai 2025
Bien aussi d'avoir ramené ta bonne humeur😅
TGIF
Smile smile smile smile 😀
Clem-entineat 08:43, the 9 mai 2025
Ça fait plaisir de voir tout ces sourires !
Madamereveat 11:27, the 9 mai 2025
C'est ben d'avoir ramené ton beau sourire par ici :)
Titre: Les voix de la terre
Le soleil avait commencé sa lente descente, et avec lui, le tumulte du marché s’était apaisé.
Les commerçants rangeaient leurs paniers, les enfants couraient entre les jambes des mères, et dans l’air flottait ce parfum doux-amer de terre humide et de feu de bois.
Luzingu marchait sans but précis, porté par l’écho encore vif de sa rencontre furtive.
Il ne savait pas vraiment ce qu’il espérait. Seulement qu’au fond de lui, un désir ancien, plus ancien que ses propres souvenirs, l’appelait à avancer.
Il suivit le sentier poussiéreux qui menait au grand fromager, celui dont les racines nues semblaient griffonner des prières sur le sol.
Elle était là.
Assise au pied de l’arbre, elle tressait lentement des brins de raphia, ses doigts fins dansant avec une patience infinie. À ses côtés, un petit panier contenait quelques offrandes simples du miel, des fleurs séchées, une poignée de graines rouges.
Quand elle leva les yeux vers Luzingu, il crut sentir le vent tourner.
Sans un mot, elle tapota la terre près d’elle, l’invitant à s’asseoir.
Le jeune homme s’installa avec précaution, respectueux. Entre eux, le silence n’était pas vide il était dense, vibrant, comme une eau profonde que nul n’osait troubler.
Après un moment, Nkenge parla. Sa voix était basse, douce
« Ici, la terre écoute. Ici, les anciens veillent. Ce que l’on dit sous cet arbre n’appartient pas seulement aux vivants. »
Luzingu acquiesça sans comprendre pleinement, mais son cœur, lui, avait déjà entendu.
Ce soir-là, il ne fut pas question de marché, ni de fortune.
Nkenge lui parla des chemins invisibles que tout homme foule sans les voir, du Kalûnga qui sépare et relie à la fois, des simbi qui guident ou égarent, selon la droiture du cœur.
Et Luzingu, ce soir-là, sentit qu’il n’était plus simplement un marchand en quête d’or.
Il était devenu un homme dont les pas résonnaient désormais sur deux terres : celle que l’on foule, et celle que l’on sent sans jamais la voir.
Peau d’ébène, grain de lumière
L’esprit tranquille 😌
Chill
🐻
Extase contenue
Titre: Sous l’ombre du fromager
Le marché de Mbanza-Kongo éclatait de bruits et de couleurs sous le soleil brûlant. odeurs d’huile de palme, de poisson séché et de terre humide montaient en vagues, mêlées aux appels rythmés des vendeuses.
Luzingu, sac sur l’épaule, déambulait entre les étals, négociant un mot par-ci, un sourire par-là. Son esprit était tendu vers ses marchandises, son regard vers ses ambitions.
C’est alors qu’il la vit.
Au pied d’un immense fromager arbre sacré où les anciens venaient parfois murmurer leurs prières elle se tenait là, immobile.
Nkenge.
Son pagne d’un bleu profond s’ornait de symboles tissés représentant les chemins du Kalûnga, la frontière invisible entre les mondes.
Autour d’elle, l’air semblait différent, comme suspendu, ralenti.
Même les marchands les plus bavards baissaient la voix en passant près d’elle, et certains, superstitieux, détournaient le regard.
Luzingu s’arrêta sans comprendre pourquoi.
Il la fixa, fasciné non seulement par sa beauté, mais par la profondeur tranquille qui émanait d’elle, comme si elle appartenait à un autre temps, un autre lieu.
Quelqu’un effleura son bras.
Un vieil homme aux cheveux blancs, drapé dans un tissu d’écorce, le regarda brièvement puis il disparut dans la foule, aussi vite qu’il était venu. Luzingu sourit, pensant à une vieille superstition de marché. Mais au fond de lui, quelque chose un écho, un frisson savait que ce jour-là, au pied du fromager, ses pas venaient de franchir une porte que l’on ne franchit qu’une fois.
EspritCurieux56at 19:17, the 7 mai 2025
Hey, c'est bien ! Bravo 🙂
Black art 🖤
50 shades of black
“Nzoto, Molimo, Mpiko” – Corps, âme, résilience
Titre: Le rêve de Luzingu
La terre rouge de Kongo collait aux sandales de Luzingu tandis qu’il gravissait les collines menant à la capitale.
Derrière lui, les villages de pêcheurs s’effaçaient dans la brume du matin ; devant lui, Mbanza-Kongo se dressait, vaste et éclatante sous le regard invisible des ancêtres.
Son baluchon battait contre ses hanches : quelques étoffes de raphia, trois défenses d’ivoire, et un espoir noué au fond du ventre. Depuis l’enfance, Luzingu savait que le monde appartenait aux hommes courageux.
À chaque carrefour de poussière, il laissait tomber quelques grains de sel, humble offrande aux simbi, esprits silencieux des eaux et des sous-bois. À chaque ruisseau traversé, il inclinait brièvement la tête, saluant les forces qu’on ne voit pas, mais qui veillent.
Quand enfin il posa les yeux sur les grandes cases de la ville, sur les places où les marchands déballaient or, tissus et perles, son cœur battit plus fort.
EspritCurieux56at 19:18, the 7 mai 2025
Dépaysant 🙂
Who am I
Otaku à temps plein, basketteur de canapé et catcheur dans mes rêves.
Fan de combos pixelisés, de prises spectaculaires et de héros overbookés.
Je collectionne les animes comme d’autres les plantes vertes. Et je suis un bon danseur auto proclamé
Clem-entineat 07:20, the 7 mai 2025
Va falloir que tu montres des preuves que tu sais danser !! 😁
kozai_59at 07:20, the 7 mai 2025
Ça marche je vais te montrer comment je zouk avec mon balai 😁
rondeetexquiseat 08:43, the 7 mai 2025
Va falloir montrer que tu aimes le catch. J'attends le RKO 😁
kozai_59at 08:43, the 7 mai 2025
Je suis un super heavyweight je suis plus apte à placer un powerbomb 😁
Le charme est un détail. Parfois, juste une paire de lèvres…
Fin de journée 🎧 https://music.youtube.com/watch?v=usFt1bgD84A&si=maoLnKWeCIh6uakN
Titre : Iféoluwasade, l’éclat du crépuscule pt.2
Iféoluwasade invita Ayotunde à s’asseoir près d’elle, sous l’ancien baobab sacré, où seuls les élus pouvaient s’aventurer sans craindre les esprits. Le sculpteur, sans arrogance ni crainte, déposa son sac de bois et d’outils, puis s’assit en tailleur, le visage tourné vers le vent.
« Pourquoi es-tu venu jusqu’ici, Ayotunde ? » demanda-t-elle, sa voix douce comme le miel.
Il répondit sans la regarder, les yeux perdus dans l’horizon : « Je suis venu chercher la beauté que mes mains ne savent plus sculpter. Pas une beauté pour les yeux, mais celle qui fait vivre l’âme. »
À ces mots, Iféoluwasade sentit une chaleur étrange naître en elle une émotion qu’aucun regard enflammé, qu’aucun serment passionné n’avait jamais su éveiller.
Durant plusieurs lunes, Ayotunde resta auprès d’elle. Il sculptait des œuvres en bois d’ébène, non pas à l’image de son visage ou de son corps, mais à l’image de ses éclats de rire, de ses soupirs silencieux, de ses silences profonds. Il ne touchait jamais Iféoluwasade, pas même un cheveu, et pourtant, jamais elle ne s’était sentie autant désirée, autant honorée.
Mais l’ancien monde ne laissait pas ses joyaux s’échapper si facilement.
Les autres hommes, consumés par la jalousie et la frustration, se liguèrent contre Ayotunde. Ils voulaient briser ce lien pur qu’ils ne pouvaient comprendre. Une nuit, alors que la lune était voilée par les nuages, ils tendirent un piège au sculpteur pour le bannir du village à jamais.
Iféoluwasade, avertie par les esprits, se plaça sur leur chemin, sa silhouette irradiant une lumière si intense que les conjurés furent aveuglés et frappés d’amnésie. Ils oublièrent jusqu’à leur propre nom.
Elle s’approcha alors d’Ayotunde et, pour la première fois, posa sa main sur son cœur.
« Veux-tu voir le monde, non avec les yeux, mais avec l’âme ? » lui murmura-t-elle.
Le sculpteur acquiesça, et en un instant, elle lia son essence à la sienne. Ensemble, ils disparurent dans le souffle du vent, devenant des légendes, des murmures portés par les arbres et les rivières.
Sky is falling
Titre: Iféoluwasade, l’éclat du crépuscule
Dans un royaume oublié, niché entre les montagnes bleues et les rivières chantantes, vivait une femme dont le nom seul suffisait à faire frissonner les cœurs : Iféoluwasade, la couronne de l’amour divin. Née lors d’un alignement céleste, les anciens disaient qu’elle avait été bénie par les orishas eux-mêmes.
Sa peau avait la douceur du satin, ses courbes dessinaient des versets de poésie, et sa démarche… oh, sa démarche ! C’était comme une mélodie silencieuse qui faisait vaciller le plus sage des rois et troubler le plus fidèle des prêtres.
Mais Iféoluwasade n’était pas seulement belle. Elle portait en elle un pouvoir ancien, hérité de sa lignée. Lorsqu’elle riait, les fleurs s’ouvraient. Quand elle pleurait, les pluies venaient. Et quand elle regardait un homme… il lui appartenait.
Un à un, les guerriers, les marchands, les poètes, tous tombaient à ses pieds, incapables de résister. Elle ne faisait pourtant rien de plus que d’exister. C’était là son pouvoir — une beauté si pure qu’elle en devenait magie.
Mais Iféoluwasade ne cherchait ni adoration ni soumission. Elle attendait l’élu, celui qui verrait au-delà de sa beauté divine, celui qui saurait aimer son âme et non son apparence. Beaucoup avaient essayé. Tous avaient échoué.
Un jour, un sculpteur borgne nommé Ayotunde arriva au village. Il ne la vit pas tout de suite, mais il entendit son rire. Il déclara : « Ce son… ce n’est pas un rire, c’est une lumière. » Et ce fut la première fois qu’Iféoluwasade sourit sincèrement. Car pour la première fois, elle se sentit vraiment vue.
Et c’est ainsi que commença leur légende. Non pas celle d’un enchantement, mais celle d’une délivrance : la beauté divine avait trouvé un regard assez pur pour ne pas s’y perdre.
Sensual lips
Le regard souriant
Jojo pose
Jojo pose
kozai_59at 00:31, the 6 mai 2025
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La force tranquille
My body is not perfect but I have a great soul 😊
Challenge: Fantasme au bureau
Titre : Assistance très particulière
Il était un peu plus de 16h quand une notification Teams a popé sur mon écran.
Éloïse : Tu peux passer vite fait dans mon bureau ? J’ai un souci avec mon PC… c’est urgent.
Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. Éloïse et moi, c’est un jeu permanent. On se cherche, on se taquine, on flirte, mais toujours sans vraiment franchir la ligne. Jusqu’à aujourd’hui.
Je n’ai même pas pris le temps d’ouvrir un ticket. Pour elle, je le faisais volontiers. Je me suis levé et j’ai pris le chemin de son bureau. Elle était déjà là assise derrière son écran l’air faussement contrarié. Et dès que je suis entré, elle s’est levée et a doucement refermé la porte derrière moi.
« Merci d’être venu si vite… » m’a-t-elle lancé avec ce petit sourire qui en disait long. « Mais le vrai souci, c’est que j’avais besoin d’une pause… avec toi. »
Mon cœur a raté un battement. Elle s’est rapprochée très proche. Je sentais presque la chaleur de son corps contre le mien.
« Donc ton PC va bien, c’est ça ? » ai-je demandé, amusé mais intrigué.
Elle a ri doucement, puis a posé ses mains sur mon torse me regardant droit dans les yeux.
« T’en as pas marre de tourner autour du pot, toi ? Moi, si. »
J’ai à peine eu le temps de répondre. Elle m’a embrassé. Un baiser profond, intense, qui m’a fait tout oublier. Mes mains ont glissé sur sa taille, la tirant contre moi. Sa blouse laissait entrevoir juste assez pour me rendre fou. Je l’ai soulevée légèrement, la faisant s’asseoir sur le bord du bureau sans même y penser.
Elle a enroulé ses jambes autour de moi, me bloquant contre elle. Ses doigts ont glissé sous mon polo, griffant doucement ma peau. Ma bouche s’est perdue dans son cou pendant que mes mains exploraient ses courbes, avides, tremblantes de désir.
Elle a gémi tout bas essayant de rester discrète mais le silence du bureau rendait chaque soupir encore plus excitant. Nos mouvements devenaient de plus en plus pressants de plus en plus désordonnés. Elle s’est cambrée contre moi ses ongles s’enfonçant dans mes épaules.
On a tout oublié, le travail, les règles, le risque c’était juste elle et moi un moment, terriblement bon.
Quand on s’est enfin calmés, essoufflés, encore collés l’un à l’autre elle a souri en se rhabillant rapidement.
« Merci pour l’intervention, technicien. Tu repasses demain ? »
Je l’ai regardée encore groggy, et j’ai souri.
« Tu peux compter sur moi. »
Un sourire riche en vitamine D
Un léger sourire
Douceur & Sensualité