Time Travel
- 2025-07-30T21:40:13+02002025-08-21T10:53:18+0200Photo from FruitdesboissucrBomb!
⏳ "Courbes du Temps"
Je suis partie un soir, sans bruit, sans bagage,
Glissant entre les plis d’un ancien sablier,
Le temps s’est refermé sur mon doux équipage,
Et mon corps, lentement, a cessé de plier.
Les années m'ont vêtue d’une chair généreuse,
Comme on drape un secret dans un tissu doré,
Chaque rondeur, un livre, une histoire amoureuse,
Chaque pli, un trésor que nul ne peut piller.
Je revois la fillette aux hanches effacées
Mais la femme que je suis, au ventre étoilé,
Porte en elle des mondes, des lunes embrassées.
J’ai dansé dans le feu, j’ai ri sous les étoiles,
Mon corps a tout gardé, comme une vieille toile.
Voyageuse du temps, j’en reviens sans remords :
Il faut du poids, parfois, pour contenir son sort.Photo from Fruitdesboissucr into Voyage dans le temps
at 21:40, the 30 juillet 2025 - 22 - 9421030 - 2025-05-16T09:35:25+02002025-05-19T16:50:48+0200Photo from PistilouBomb!
Je n’ai pas réussi à mettre cette histoire, réelle dans la catégorie blog/article. Ce texte a peut-être été déjà lu à un autre endroit, mais j’ai envie de le partager de nouveau, comme un petit clin d’œil à cette rencontre, je crois que ça fera 10 ans dans quelques semaines….☺️
Récit d’une rencontre qui m’anime encore aujourd’hui, tant elle a boulversé mon rapport à la sexualité et mis en lumière la magie qui opère lors de la rencontre des corps, des êtres ...✨
Voici ce doux souvenir:
Il y a plusieurs années, à un petit coin de rivière sauvage, au cœur des Cévennes .
À l’entrée du sentier qui mène à la rivière, je remarque une paire de tongs posées sur un rocher. Vu la couleur et la taille, c’est bien une femme qui les a déposer là.
Je passe un bon moment au bord de l’eau, ressourcé par le fait d’être nu parmi la rivière, le soleil et les libellules.
À un moment, j’entends quelqu’un redescendre la rivière en amont.
Je me dis « tiens, c’est la fille aux tongs »
Appairait alors une femme, mi drapée dans un tissu, qui me salue et viens à ma rencontre. On se reconnaît, on s’est rencontré la veille au marché ou l’on a échangé quelques mots.
Elle m’explIque venir souvent ici, que cet endroit lui fait du bien, comme je la comprends....
Nous passons un moment ensembles, se baignant nus dans la lumière dorée de la fin de la journée, qui donne à la peau cette touche sucrée.
Sensuel instant de découvrir le corps de l’autre, au naturel, parmi les éléments...
Nous nous revoyons à plusieurs occasions, nous devenons amis, avec toujours dans les yeux ces paillettes de désir, dues au souvenir de ce bel instant de sensualité partagée.
Elle est en couple à ce moment et me dit vouloir rester intègre. Je respecte sa position car j’aurais certainement eu la même à sa place. Malgré tout une pulsion commune nous anime lorsque nous sommes en présence l’un de l’autre, irrésistiblement aimantés…
Le temps passe sur une belle relation de partage et d’amitié...
Un jour nous dormons ensemble en forêt l’un contre l’autre et mi-habillés pour ne pas déraper. C’est la 1ère fois que nos corps se touchent, et nous ne fermons pas l’oeil de la nuit tant nous sommes troublés par l’emotion de ce contact peau à peau...
Quelques temps plus tard nous nous revoyions , elle est séparée. Nous nous donnons rdv le soir même, les yeux brillants de la perspective de passer la nuit ensemble..
Nous nous retrouvons, et pouvons laisser libre cours au désir refoulé depuis presque deux ans. Bonheur de parcourir son doux corps de femme Nature, émoi de découvrir son odeur et les les nuances florales et épicées de sa fleur de vie...
Nous faisons l’amour, intensément... J’enfile de justesse un préservatif avant d’être submergé de plaisir. Je la vois et la sens intensément traversée par mon orgasme et le siens…
Elle me dit ensuite : « Si tu es d’accord pour te retenir la prochaine fois, ce sera bien mieux pour toi et moins éprouvant pour moi » avec un petit sourire en coin.
J’accepte, un peu interloqué, car jusqu’à présent je considérais que la finalité d’un acte d’amour et de sexe était bien l’orgasme des deux partenaires.
S’ensuivit alors deux semaines où elle m’initia à la lenteur, sans projection ni désir de jouissance, juste à être dans le moment , l’un dans l’autre, l’un avec l’autre, formant presque comme une troisième entité… Jouir de ne pas jouir, garder cette tension sexuelle intacte, la chérir, la regarder se transformer en énergie de vie, lumineuse, guérisseuse…
Dans l’écrin ruisselant de son sexe, des heures durant, dans la forêt, au bord de l’eau, et un autre endroit qui m’est cher, je passais des moments d'extase inégalés, émerveillés par la connexion venant d’un quasi immobilisme... Elle savait à ces moments impulser de petits mouvements par la douceur de son vagin , tantôt m’ aspirant au plus profond de son sexe avec une sensation de doux baisers sur le mien, tantôt me repoussant quand le plaisir se faisait pressant. Nos sexes dansaient l’un dans l’autre alors que nos corps étaient quasi immobile, délicieux contraste.
Elle m’a fait découvrir le non désir dans le désir, d’où naît l’extase.
Elle savait lécher la rosée perlant sur quelques roses avant de m’embrasser, subtile et coquine.
Elle m’ a ouvert la porte à une vision poétique et sacrée des femmes et leurs mystères pendant ces éphémères instants.
Quelques temps plus tard nous nous revoyons, elle a rencontrer quelqu’un, je suis heureux pour elle.
Nous nous remercions de ce cadeau que nous nous sommes fait et , quand je lui fait part du déclic qu’elle a provoquer chez moi elle me demande si je le raconterai à quelqu’un un jour.
Ce à quoi je réponds : « Oui, je dirais que j’ai croisé le chemin d’une Geisha Cévenole.. » Elle semble touchée, elle sourit, elle est belle...
Je lui dédie ces quelques mots ainsi que les fleurs et les saveurs de toutes les femmes , qui de vos multiples nuances faites tourner le monde et la tête des hommes.Photo from Pistilou into Voyage dans le temps
at 09:35, the 16 mai 2025 - 11 - 515310Photo challenge of the moment : Pas de défi actuellement
- 2025-05-10T18:25:58+02002025-06-14T10:34:35+0200Photo from AkenoSoie
Les mots sans voix qu'on s'dit avec les doigts, Partie 1
1
C’est un soir d’ennui chaud, ce genre de soir où la ville décolle sa peau des murs, et moi, la mienne de mes draps. L’écran phosphorescent du Minitel attend que je choisisse un pseudonyme, un désir. Je tape marée-basse75. Je me dis qu’il lira peut-être marée pour les vagues, basse pour le ton, le registre, pour ce qui se joue sous la ligne visible.
Il s’appelle Théo. Journaliste à Marseille. Il me parle de ses nuits entre deux bouclages, des odeurs d’encre fraîche, de ses doigts tachés, et de ses insomnies. On commence à se parler de ce qu’on ne dirait jamais à voix haute.
— Tu dors nue ?
— Ça dépend. Des fois je porte un simple tee-shirt, je suis frileuse des épaules.
Il rit. Il dit que ça lui plait. Que ça l’excite d’imaginer me déshabiller mot après mot. Il veut savoir comment je respire quand je me touche. Ce que je retiens. Ce que j’invente.
De fil en aiguille, les touches du Minitel deviennent trop lentes. Alors il me donne son numéro. Il a une voix grave, un peu rocailleuse, du sel et du sud dedans. Une voix qui me traverse jusqu’à l’intérieur des cuisses.
2
La première nuit au téléphone, j’ai quitté mon lit pour le parquet. Il grince sous mes mouvements, comme s’il voulait prendre part à la conversation. J’ai branché le fil long, celui qui me permet d’arpenter la pièce, nue, un pied après l’autre, en équilibre entre le frisson et l’abandon.
— Tu fais quoi, là, Marie ?
— Je marche. J’ai les seins nus et les jambes moites. Le parquet colle un peu.
— T’as chaud
— J’ai envie. C’est pas pareil.
Il grogne doucement. J’entends le froissement de ses draps, l’écho d’un soupir, quelque chose qui se déplace de son côté de la ligne.
— Dis-moi ce que tu veux que je te fasse.
Je m’arrête. Je ferme les yeux. J’imagine sa main sur ma nuque, son souffle à l’oreille.
— Je veux que tu viennes derrière moi. Que tu ne dises rien. Juste ta main, là, sur le creux, tu sais…
Il sait.
La nuit s’étire. Une nappe de mots et de soupirs, une traînée de fièvre qui ne veut pas retomber. À chaque silence, on croit que c’est fini. Et puis non. Une phrase relance tout. Une phrase comme un ongle dans le dos, un murmure dans la bouche.
— T’es encore là ?
— Toujours. T’as bougé ?
— J’ai juste glissé un doigt entre mes cuisses. C’est chaud. C’est plein de toi.
Il gémit cette fois. Pas un cri. Un son fêlé, contenu. Je voudrais me glisser dans le combiné pour l’entendre plus fort.
3
À cinq heures, je suis en sueur, épuisée, mais le ventre toujours à l’affût. J’ai le goût du cuivre sur la langue. L’aube rosit la fenêtre, mais je n’ai pas sommeil. Pas encore.
— Tu tiens encore ?
— J’ai plus de voix, mais je bande toujours.
— Je veux que tu m’écoutes. Je vais te dire ce que je ferai quand on se verra.
Je me suis étalée sur le sol, dos collé au parquet. Il est tiède, presque humain.
— Tu sais quoi ? Je veux jouir dans ta voix. Pas besoin de toi en entier. Juste ça. Juste ta voix, là, dans ma gorge.
4
Il est plus de six heures quand j’entrouvre la fenêtre. L’air frais du matin mord mes chevilles, la ville reprend ses bruits. Un camion de livraison, un volet qui claque, un chien qui aboie au loin. Et lui, toujours là.
— Tu veux dormir, Marie ?
— Non. Je veux encore t’entendre. Tu peux ?
Il prend une inspiration longue, un souffle qui traverse tout mon corps.
— Je veux te lécher comme on récite un poème. Lentement. Avec la langue et les yeux. Tu m’entends ? Je veux que ton clitoris porte mon prénom.
Je ris, à peine, juste assez pour ne pas rompre le sortilège.
— C’est déjà le cas. Chaque fois que j’appuie, c’est toi.
Je me suis glissée entre mes draps. L’humidité de mes cuisses s’infiltre jusque-là. Je n’ai plus de mot pour nommer ce que je ressens. Juste des images. Des paysages intérieurs. Son corps au bord du mien, sa bouche à la place de mes doigts.
— T’as encore envie, toi ?
— J’ai mal tellement j’ai envie. C’est devenu une brûlure.
— T’as les mains où, là, Théo ?
— L’une serre le combiné. L’autre… t’es sûre de vouloir le détail ?
— Dis-moi tout. Même ce que tu dis d’habitude à personne.
Silence.
Puis sa voix revient.
— Je me branle en pensant à ta voix quand tu jouis. Je veux que tu cries. Pas fort. Juste assez pour que ton voisin se demande si t’es seule.
5
Les oiseaux ont commencé à chanter. Je ne reconnais pas leur langage. Il me semblent plus lents, comme s’ils avaient compris la cadence de notre nuit.
— Tu dors ?
— Je rêve tout haut. Et toi ?
— J’ai l’impression qu’on s’est déjà touchés. Que ta peau a la forme exacte de mes paumes.
Je ferme les yeux. L’aube se faufile jusqu’à moi. Elle caresse mon visage avec la même douceur que sa voix.
6
La nuit d'après, le téléphone sonne à 23h47. Je suis déjà nue sous une couette fine. Dès le premier souffle, je reconnais sa présence. Il ne dit rien, pas tout de suite. Il me regarde, de l’autre côté de la ligne.
- Marie ?
- Dis-moi ce que tu veux ce soir. Pas de détour. Pas de phrases jolies. Va droit au but.
Un silence bref, tendu comme un muscle prêt à rompre.
- Je te veux debout, de dos. Ma main dans ta nuque. Je veux que tu t’appuies sur moi. Que tu tombes si je te lâche.
Je gémis à peine. Le son est étouffé par le coussin que je coince entre mes cuisses.
- Je l’écrase contre moi. Je veux que ce soit toi. Là. Enfoncé.
Sa voix se fait grave, abîmée par le désir.
- Frotte-toi. Je veux que la housse s’imprègne de toi. Que demain, tu retrouves l’odeur, les plis. Que ton oreiller dise mon nom.
Je remonte mes genoux contre ma poitrine, cambre le bassin. Le tissu râpe mon clitoris. J’ai chaud. Mes doigts se faufilent.
- Continue. Dis-moi.
- Je te lèche lentement, Marie. Je prends mon temps. Je t’ouvre. Je te dévore. Ma langue trace ta géographie. Je t’apprends par cœur.
Je suis au bord. L’air me manque. Mon corps réclame une fin qui ne vient pas.
- Encore. Dis mon prénom comme si tu venais. Là. En moi.
- Marie. Marie. Marie…
Chaque syllabe pulse. Mon ventre se tend, mes hanches battent contre le vide. Je viens contre ma paume. Fort. Longtemps. Comme une réponse qui n’en finit pas.
7
Le silence s’installe. Il est épais, vibrant. Ni lui ni moi ne parlons. On écoute le souffle de l’autre comme on goûte une peau après l’amour. Tout s’est rétréci au fil du téléphone. Plus rien n’existe. Juste lui. Juste moi. Suspendus.
- Tu dors ?
- Non. Je te regarde les yeux fermés.
- Moi, je t’imagine au bord du lit. Encore dur. Encore là. Tu me veux encore ?
- J’ai jamais cessé. Tu creuses un vide que je veux remplir. Encore. Et encore.
Je ne bouge pas. Mon corps flotte entre deux rives. Mes jambes sont engourdies, mon ventre encore traversé de spasmes. Et pourtant, l’appel revient. À peine redescendue, je le sens : c’est reparti. Une lente remontée. Une faim nouvelle. Inépuisable.
- Théo ?
- Je t’écoute.
- Dis-moi que tu me regardes. Que tu me vois vraiment.
- Je vois tes seins, encore agités. Tes lèvres entrouvertes. Je vois ta main, celle que tu n’as pas encore utilisée.
Je ferme les yeux. J’y suis. Couchée sur le dos. Une main encore tremblante, l’autre à l’affût. Tout est prêt.
- Tu vas te toucher doucement, Marie. Pas pour venir tout de suite. Pour rester. Pour prolonger.
J’obéis. Je glisse à peine deux doigts, juste là, à la frontière. Je retiens. Je retiens tout. Il respire fort maintenant. Sa voix descend d’un cran.
- Je veux que tu imagines ma bouche. Ma langue plate, lente, précise. Je veux que tu m’appelles par le souffle.
Je laisse ma main devenir sa bouche. Je caresse. Je trace. Je reviens. Je recommence. Je m’ouvre lentement, comme une fleur tardive. Tout est lent. Tout est concentré.
- Tu fais quoi, Théo ?
- Je me tiens au bord. Je serre fort. Je veux durer. Je veux que tu viennes d’abord. Lentement. Que tu glisses sur moi comme un orage qui ne tombe pas.
J’ouvre les cuisses. J’y place un silence. Je respire par saccades. Une larme me coule sur la tempe. Ce n’est pas de la tristesse. C’est de la brûlure. Une joie désespérée.
- Continue. Je suis là. Je suis à toi. Encore.
- Dis-moi ce que tu sens.
- Je sens ta langue. Tes paumes. Je sens ton torse. Je sens ta queue me chercher, frapper à l’entrée. Je sens que je suis prête. Que je vais exploser, mais que je veux tenir encore.
Je tremble. Pas de froid. De tension. De beauté. De trop-plein.
- Marie. Tu peux y aller. Je suis là. Je suis en toi.
Je bascule. Je viens dans un cri, contenu, nocturne. Une vague lente, une houle douce. Un feu qui ne détruit pas mais éclaire.
8
Il est presque six heures. Je suis allongée, nue, les draps enroulés autour de mes chevilles. Mon téléphone me chauffe la joue. On ne parle plus. On respire l’un dans l’autre, comme deux bêtes fatiguées après la course.
Puis, sa voix revient. Plus basse. Plus pleine.
- Marie… il faut qu’on se voie.
Un frisson me traverse. C’est si simple. Et si risqué. Le fantasme a ses murs. Sa douce obscurité. La lumière du jour pourrait tout fissurer.
- Tu veux vraiment ?
- Je ne peux plus faire autrement.
Je me redresse, lentement. Mes muscles me tirent, souvenir des secousses. Mes jambes sont douloureuses, mes reins encore pleins de lui.
- On se connaît par la peau des mots. Tu crois qu’on se reconnaîtra par la vraie ?
- Je crois oui.
Il marque une pause. Son souffle s’accélère, juste un peu.
- Je veux voir tes yeux quand tu viens. Je veux te sentir dans ma bouche. Te goûter. Pour de vrai.
Je le sens, il sourit, je le devine.
- Donne-moi un lieu. Une date. N’importe où. Je viendrai.
Je me lève. Je vais jusqu’à la fenêtre. Dehors, le ciel blanchit. Les immeubles sont encore endormis. Moi, non. Je suis vivante, comme jamais.
- Ce week-end. À mi-chemin. Je prends une chambre. Je te donne l’adresse demain. D’accord ?
Il souffle un « oui » tremblant. Comme un cri de victoire étouffé.
- Marie… nous allons faire l’amour pour de vrai. Tu sais ça ?
Je souris.
- J’ai jamais autant su quelque chose.
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at 18:25, the 10 mai 2025 - 29 - 932600 - 2025-05-05T22:58:36+02002025-05-06T07:29:51+0200Photo from Naoned44
Découvrir un nouveau monde
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at 22:58, the 5 mai 2025 - 14 - 77000 - 2025-04-29T12:01:22+02002025-04-29T16:02:39+0200Photo from OrobasExpliciteSnap encore visible pour les Premium
Ouranos
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at 12:01, the 29 avril 2025 - 5 - 33000 - 2024-09-21T14:51:01+02002024-09-22T07:54:22+0200Photo from Magik Ben
Le plus beau jour de ma vie 💞💞💞💞
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at 14:51, the 21 septembre 2024 - 4 - 36100 - 2024-09-14T12:51:33+02002025-05-13T22:16:15+0200Photo from MissLaetiBomb!
Avant ma photo aurait donné ça 😁
Photo from MissLaeti into Voyage dans le temps
at 12:51, the 14 septembre 2024 - 34 - 17621010 - 2024-08-15T15:02:21+02002024-08-16T13:47:46+0200Photo from AmortentiaJBomb!
Cette après midi c’est cinéma 🎦 et vous vous faites quoi aujourd’hui ?
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at 15:02, the 15 août 2024 - 4 - 314210 - 2024-07-26T11:39:52+02002025-05-13T22:30:39+0200Photo from MissLaeti
Photo prise à mon insu 🤭
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at 11:39, the 26 juillet 2024 - 8 - 45000 - 2024-06-07T18:43:53+02002024-07-30T16:14:27+0200Photo from Jeje1986
C'est au camp de Boulogne, en 1804, que l'empereur Napoléon décide de créer des compagnies de voltigeurs.
Photo from Jeje1986 into Voyage dans le temps
at 18:43, the 7 juin 2024 - 6 - 314000 - 2024-06-03T12:43:41+02002024-06-05T20:16:26+0200Photo from Jeje1986
Étaient-ils aussi coquin à l'époque qu'aujourd'hui 🤔
Photo from Jeje1986 into Voyage dans le temps
at 12:43, the 3 juin 2024 - 6 - 319300 - 2024-04-12T09:45:27+02002025-05-28T06:33:17+0200Photo from LilvioletteBomb!
Un petit voyage dans le temps avec ces culottes ouvertes que je trouve tellement sexy!
Je vous embrasse toutes et tous 😘Photo from Lilviolette into Voyage dans le temps
at 09:45, the 12 avril 2024 - 8 - 3641340 - 2024-02-23T08:11:30+01002025-05-28T06:33:38+0200Photo from LilvioletteBomb!
c'était en 1987, j'étais déjà maman et surtout naturiste dans l'âme. je portais juste un bas de maillot car, dans le sud de l'Espagne même le monokini était interdit. Dans ma jeunesse j'ai quand même fini au poste à cause de cette envie de nudité. je vous embrasse toutes et tous et surtout, ne soyez pas sages
Photo from Lilviolette into Voyage dans le temps
at 08:11, the 23 février 2024 - 8 - 3481010 - 2024-01-26T16:37:57+01002024-02-26T21:20:39+0100Photo from MissLaeti
Qui dit jeu de société, dit 1 sablier 😃
Photo from MissLaeti into Voyage dans le temps
at 16:37, the 26 janvier 2024 - 8 - 340200 - 2024-01-01T23:04:02+01002025-03-17T21:47:16+0100Photo from pucette
Pura vida
Photo from pucette into Voyage dans le temps
at 23:04, the 1 janvier 2024 - 22 - 1229500 - 2023-12-26T12:59:45+01002025-02-06T00:33:00+0100Photo from SatrapABomb!
Un bisounaute que j’apprécie beaucoup m’avait demandé de refaire une de photos de ma galerie…
Même bas, même body… des chaussures en plus, quelques années et kilo en plus aussi, mais le résultat est aussi bien que il y a plus de 4 ans… je crois!. Je vous montrerai la photo après.
Voici une petite selfie pendant lla séance photo !!Photo from SatrapA into Voyage dans le temps
at 12:59, the 26 décembre 2023 - 12 - 61053050 - 2023-11-25T12:30:22+01002025-08-18T20:57:19+0200Photo from PssssittttWelcome
Du temps où la photo n existait pas...
Photo from Pssssitttt into Voyage dans le temps
at 12:30, the 25 novembre 2023 - 11 - 515000 - 2023-10-26T19:25:56+02002025-05-13T12:04:29+0200Photo from MissLaetiBomb!
La réponse était ...
Photo from MissLaeti into Voyage dans le temps
at 19:25, the 26 octobre 2023 - 9 - 368510 - 2023-10-26T13:02:26+02002024-02-16T13:11:47+0100Photo from MissLaetiBomb!
Jeu vidéo/film revisités, mais lequel ? 😁
Photo from MissLaeti into Voyage dans le temps
at 13:02, the 26 octobre 2023 - 9 - 351410 - 2023-10-26T02:25:30+02002023-11-04T10:01:21+0100Photo from Mme YoniBomb!
Hier encore...
Photo from Mme Yoni into Voyage dans le temps
at 02:25, the 26 octobre 2023 - 9 - 311210 - 2023-06-16T09:56:49+02002024-11-23T23:42:34+0100Photo from Vivi33Bomb!
Passer un très bon week-end
Photo from Vivi33 into Voyage dans le temps
at 09:56, the 16 juin 2023 - 10 - 3431040 - 2023-06-06T13:03:40+02002023-08-09T17:18:52+0200Photo from Vivi33Bomb!Photo from Vivi33 into Voyage dans le temps
at 13:03, the 6 juin 2023 - 10 - 328630 - 2023-06-05T13:32:10+02002023-08-23T10:38:56+0200Photo from Vivi33Bomb!
Superbe week-end 1900
Photo from Vivi33 into Voyage dans le temps
at 13:32, the 5 juin 2023 - 10 - 340710 - 2023-05-06T13:48:45+02002024-11-24T00:27:46+0100Photo from Vivi33Bomb!Photo from Vivi33 into Voyage dans le temps
at 13:48, the 6 mai 2023 - 10 - 3611540 - 2023-05-06T12:23:26+02002024-02-19T16:02:35+0100Photo from Miss_capriceBomb!
Et si on remontait le temps pour se retrouver au XIXème siècle dans les rues parisiennes ?
Photo from Miss_caprice into Voyage dans le temps
at 12:23, the 6 mai 2023 - 10 - 31102630